EXTINCTIONS

Créé à Besançon en 2016 la Cie Deylco s’aventure sur le terrain d’un théâtre documentaire qui mêlerait l’intime et le politique, la légèreté et le tragique. Après Le Lièvre de Pripyat présenté l’an passé au Festival du Bitume et des Plumes, la Cie Deylco revient avec un nouveau projet. Dans Extinctions elle aborde l’effondrement de la biodiversité. Comment faire face à ces vérités-là sans céder à la panique ni au déni ? Telle est la question à laquelle, sur scène, tentent de répondre un artiste désenchanté et un conférencier exalté.

Un projet de la Cie Deylco

Texte Gilles Perrault, mise en scène Julia Dreyfus

Avec Martin Lardé et Julien Toinard

EXTINCTIONS

Créé à Besançon en 2016 la Cie Deylco s’aventure sur le terrain d’un théâtre documentaire qui mêlerait l’intime et le politique, la légèreté et le tragique. Après Le Lièvre de Pripyat présenté l’an passé au Festival du Bitume et des Plumes, la Cie Deylco revient avec un nouveau projet. Dans Extinctions elle aborde l’effondrement de la biodiversité. Comment faire face à ces vérités-là sans céder à la panique ni au déni ? Telle est la question à laquelle, sur scène, tentent de répondre un artiste désenchanté et un conférencier exalté.

Un projet de la Cie Deylco

Texte Gilles Perrault, mise en scène Julia Dreyfus

Avec Martin Lardé et Julien Toinard

Le dodocène

Les membres de 317, rue de Paris interrogent le concept d’Anthropocène et proposent d’autres “-cènes”, d’autres âges. Au travers de lectures de divers•e•s auteur•e•s, de Donna Haraway à Jason W. Moore en passant par Anna Tsing, l’Anthropocène sera revu et corrigé par le féminisme et pourront émerger tour à tour le Capitalocène, le Plantationocène et le mystérieux Chtulucène. Restera-t-il une place pour le dodo ?

le dodocène

Lettre au dernier Grand Pingouin

LETTRE-AU-DERNIER-GRAND-PINGOUIN festival du bitume et des plumes besancon

Dans cette lettre à bâtons rompus, tour à tour intime, érudite et rêveuse, Jean-Luc Porquet, écrivain et journaliste au Canard Enchaîné, en partant de la disparition du grand pingouin au 19ÈME siècle interroge notre rapport à la nature et décrypte avec méfiance la société hyper technologique qui s’annonce.

Texte Jean-Luc Porquet

avec les élèves du Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Besançon sous la direction de Marie Llano : Anna Bourillon, Tony Martarano, Juliette Robert, Olivier Schlosser.

crr besançon FC

 

 

Mystical Faya

En s’inspirant des codes du reggae style rockers et du rubadub jamaïcain et anglais des années 70-80, Mystical Faya propose un son lourd et envoûtant. Le groupe développe un univers qui lui est propre : un reggae teinté de soul et parsemé de touches rock. La chaleur des voix et les mélodies aussi incisives qu’énergiques définissent l’identité du groupe.

Les fils du Facteur

Leur style pourrait être qualifié de chansons francophones festives teintées de poésie et d’un brin
de mélancolie. Ils tracent leur chemin avec panache en flirtant avec un éventail de sonorités, venez chanter avec eux  pour l’ouverture de la soirée.

Niaramy

Niaramy, c’est la rencontre de cinq musiciens qui partagent leurs inspirations musicales. « Afro Groove Electric » teinté de Jazz Funk Blues Rock, avec des influences de musique traditionnelle Mandingue du Burkina Faso (Afrique de l’ouest). L’énergie communicative du chant et des instruments traditionnels (Balafon, N’Goni) est soutenu par un groove constant et des ambiances nuancées.

NIARAMY-concert-festival-du-bitume-et-des-plumes

Super Parquet

super-parquet-festival-du-bitume-et-des-plumes

Super Parquet ressemble à une ébouriffante exploration des musiques traditionnelles couplée à une ahurissante
recherche sonore électronique. Ça n’existait pas, ils l’ont inventé. Une musique un peu sauvage, animale, où la
cornemuse emblématique de l’Auvergne vient flirter avec les sons synthétiques des machines. Un banjo s’énerve,
s’électrise, s’enflamme. C’est prenant, c’est planant, c’est dansant, c’est fait de tension et sans concession. – Altitude Jazz Festival

Super Parquet vous connaissez ? C’est un monstre de bal à quatre têtes, un manche de banjo, des anches qui
remuent, pas mal d’électronique sous le capot, se nourrissant de musiques traditionnelles et dont le puissant
rugissement commence à rencontrer de sérieux succès – AMTA

Avec : Julien Baratay: Voix, machines // Antoine Cognet: Banjo // Simon Drouhin: Machines, boite à bourdons // Louis
Jacques: Voix, Cabrette // Léo Petoin: Clef de voûte du son.

Si tout cela sort de moi

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Une femme qui vient de plaquer son mariage se réfugie dans un bar. En crise, en proie à ses multiples mondes intérieurs, elle s’épanche auprès du barman et des clients et livre ses incertitudes sur l’engagement amoureux…

Qu’est-ce qui se joue en nous, dans nos intimités, du long silence bridé des femmes ? Explosion de ces schèmes qui nous sculptent encore aujourd’hui – exploser.

Ok, exploser – mais que faire de ce baiser profond que l’on partage parfois ?

Les pas de cet autre. Celui qui s’enlace à moi, celui que je choisis pour vivre, pas dans les pas…

…à quel point je peux vivre avec lui en étant fidèle à mon expérience intime de la vie ?

Si tout cela sort de moi, quoi faire avec ?

Jeu : Elise Cagne et Anthony Carnet

Oeil extérieur : Audrey Tardy

Ecriture : Elise Cagne

Projet hébergé par la Cie Quart de Seconde

Prémices collaboratifs avec LA TOILE, Collectif d’Artistes Hybride

La nef des fous

la-nef-des-fous

Titre éponyme du célèbre tableau de Jérôme Bosch, l’œuvre in progress de Charlie Bardelot vise à réunir les 12 apôtres de la folie. La Nef des Fous, c’est une succession de saynètes de fous du roi agrémentées de contes théâtralisés, de boniments, de chansons de gestes. C’est la découverte des instruments de la folie ordinaire, c’est la démonstration de l’habileté corporelle et linguale du bouffon, c’est l’art de discourir, le tout enrobé de rires et de facéties.

Héritier du théâtre de rue contemporain, Charlie Bardelot est tour à tour bonimenteur et harangueur de foule, comédien, danseur, clown mimo-dramatique, flûtiste à nez, percussionniste, imposteur… Vous serez bouleversés par son corps maigre et puissant, par son agilité d’user de son instrument accordé harmonieusement à ses mots. Fou hilare, sa figure est un masque. Sa face se forme et se déforme au gré des visages de l’humanité. Son grimacier est une exploration des sentiments humains et lorsqu’il pousse la chansonnette, le frisson n’est pas loin !