Une femme qui vient de plaquer son mariage se réfugie dans un bar. En crise, en proie à ses multiples mondes intérieurs, elle s’épanche auprès du barman et des clients et livre ses incertitudes sur l’engagement amoureux…
Qu’est-ce qui se joue en nous, dans nos intimités, du long silence bridé des femmes ? Explosion de ces schèmes qui nous sculptent encore aujourd’hui – exploser.
Ok, exploser – mais que faire de ce baiser profond que l’on partage parfois ?
Les pas de cet autre. Celui qui s’enlace à moi, celui que je choisis pour vivre, pas dans les pas…
…à quel point je peux vivre avec lui en étant fidèle à mon expérience intime de la vie ?
Si tout cela sort de moi, quoi faire avec ?
Jeu : Elise Cagne et Anthony Carnet
Oeil extérieur : Audrey Tardy
Ecriture : Elise Cagne
Projet hébergé par la Cie Quart de Seconde
Prémices collaboratifs avec LA TOILE, Collectif d’Artistes Hybride
Une vie d’usine. « Au début le bleu il est bleu et bien vite il devient noir » … « A la fin on a de la limaille qui nous coule dans les veines »
Un spectacle-hommage aux ouvriers-forgerons où marteau et enclume, feu et forges rythment la cadence…Un récit de Gaétan Gouget à partir de collectage dans la région des Mille étangs accompagné par le travail et la musique de forge de Sam Mourot. La parole vécue se trouve mêlée aux contes et les mots, pris entre le marteau et l’enclume, sonnent juste à nos oreilles.
Avec Gaëtan Gouget, conteur et Sam Mourot, musicien-forgeron
» Il était une fois.. Une musicienne emprisonnée, avec sa harpe ensorcelée, dans sa boîte à musique, par un sorcier maléfique, et qui vit sous la menace, d’un dragon tenace…
Voilà une mission pour Victor, apprenti magicien qui va tenter de venir la libérer. Mais entre ses approximations dans les formules magiques, le caractère bien trempé de la musicienne et les réveils du dragon, il lui faudra l’aide des enfants pour réussir sa mission !
Billetterie pour le spectacle
(Les spectacles sous chapiteau uniquement ont une billetterie payante)
Le Tripot est un salon itinérant qui mêle spectacles et animations sous une tente aménagée confortablement. C’est un lieu de convivialité et de bien-être pour tous ! Des jeux en libre service, des spectacles impromptus, des contes, des lectures, de la magie et les Petites Annonces (le public est invité à laisser des petites annonces, une lecture publique en est faite en fin d’après-midi. Ce temps de parole donné aux enfants et adultes est surprenant de drôlerie, de sensibilité, de justesse… et de surprises !) Pendant la journée, thés, gâteaux et boissons rafraîchissantes sont proposées (tout est fait sur place avec amour et ingrédients bios) (tarif unique : 1 euro). En résumé c’est un lieu hospitalier vivant conçu pour tous dans un soucis d’échange et de partage.
Le Tripot est un salon itinérant qui mêle spectacles et animations sous une tente aménagée confortablement. C’est un lieu de convivialité et de bien-être pour tous ! Des jeux en libre service, des spectacles impromptus, des contes, des lectures, de la magie et les Petites Annonces (le public est invité à laisser des petites annonces, une lecture publique en est faite en fin d’après-midi. Ce temps de parole donné aux enfants et adultes est surprenant de drôlerie, de sensibilité, de justesse… et de surprises !) Pendant la journée, thés, gâteaux et boissons rafraîchissantes sont proposées (tout est fait sur place avec amour et ingrédients bios) (tarif unique : 1 euro). En résumé c’est un lieu hospitalier vivant conçu pour tous dans un soucis d’échange et de partage.
Dix-neuf valises encerclées d’enfants, petits et grands. Au centre, un homme (Paul). Acrobate et poète, à travers ces bagages, il
nous entraîne dans sa danse. En rond, de gauche à droite, ça bascule. Sa curiosité est telle, c’est en ouvrant l’une d’entre elle qu’il le découvre. Teddy, cet ourson si mignon. Il devient son compagnon de voyage. Ensemble ils arpentent le monde, ensemble ils créent. Bientôt, les valises deviennent chevaux, motos ou encore bateaux. Ils défileront tels des soldats fiers, tels des pirates perdus en pleine mer. Leur forteresse attaquée, ils défendront leurs arrières mais gare à la défaite. Encore une, une dernière aventure ! Construire une tour, une vraie. Il faut de l’aide, des volontaires. Tout le monde doit s’y mettre pour trouver le bon équilibre. Allez, Montez ! Plus haut, encore plus haut !
Billetterie pour le spectacle
(Les spectacles sous chapiteau uniquement ont une billetterie payante)
Dix-neuf valises encerclées d’enfants, petits et grands. Au centre, un homme (Paul). Acrobate et poète, à travers ces bagages, il
nous entraîne dans sa danse. En rond, de gauche à droite, ça bascule. Sa curiosité est telle, c’est en ouvrant l’une d’entre elle qu’il le découvre. Teddy, cet ourson si mignon. Il devient son compagnon de voyage. Ensemble ils arpentent le monde, ensemble ils créent. Bientôt, les valises deviennent chevaux, motos ou encore bateaux. Ils défileront tels des soldats fiers, tels des pirates perdus en pleine mer. Leur forteresse attaquée, ils défendront leurs arrières mais gare à la défaite. Encore une, une dernière aventure ! Construire une tour, une vraie. Il faut de l’aide, des volontaires. Tout le monde doit s’y mettre pour trouver le bon équilibre. Allez, Montez ! Plus haut, encore plus haut !
Billetterie pour le spectacle
(Les spectacles sous chapiteau uniquement ont une billetterie payante)
Buenos Aires dans les années 70, un mondial de foot, une dictature. Dans un appartement, Juan et Sophia dansent le tango au son des musiques rock de l’époque… et perdent soudainement leur liberté après le coup d’état du gouvernement d’Isabel Perón. Pour nos deux personnages, le tango se fait alors acte de résistance ! La salle de bain et la baignoire comme théâtre de vie… comme échafaud.
Nal Boa met en scène des regards posés, des regards croisés, des prises de positions, des prises de paroles individuelles face à l’autre, poursuivant ainsi nos interrogations sur l’individu dans le groupe où le « je » est partie intégrante, où le « je » et le « nous » sont en interaction permanente, en réaction, en accord ou en conflit… Le spectacle se déroule le long d’un mur. Le mur comme refuge, pour prendre de la distance, se confronter à soi-même. Un mur pour se remémorer, se souvenir, se recueillir. Etre dos au mur, acculé, piégé, ne plus pouvoir avancer, sauter par dessus, se jeter contre, en désespoir de cause faire face.
Nal Boa met en scène des regards posés, des regards croisés, des prises de positions, des prises de paroles individuelles face à l’autre, poursuivant ainsi nos interrogations sur l’individu dans le groupe où le « je » est partie intégrante, où le « je » et le « nous » sont en interaction permanente, en réaction, en accord ou en conflit… Le spectacle se déroule le long d’un mur. Le mur comme refuge, pour prendre de la distance, se confronter à soi-même. Un mur pour se remémorer, se souvenir, se recueillir. Etre dos au mur, acculé, piégé, ne plus pouvoir avancer, sauter par dessus, se jeter contre, en désespoir de cause faire face.
